Opinions et Pétitions
De nouvelles pétitions sont à prendre en compte :
Gabriel Combris - Lettre Directe Santé <gabriel.combris@directe-sante.email>(Urgent) Ils resserrent la laisse !!
Chère lectrice, cher lecteur,
Il y a urgence.
Le Parlement vient d’adopter une loi qui pourrait vous punir d’un an d’emprisonnement… et de 35000€ d’amende !!
Je vous explique tout dans le message ci-dessous - c’est d’une importance capitale !
Car il faut à tout prix empêcher cette loi de se retourner contre vous.
Santé !
Gabriel Combris
Thierry Champion - OIPA <thierry.champion@observatoire-pouvoir-achat.email>
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Je compte sur vous,
Thierry Champion
Les Lignes Bougent <petitions@mail1.leslignesbougent.org>🔴 NON au braquage fiscal sur les crypto-monnaies
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suite :
SOS Éducation <infos.membres@m.soseducation.org>Vous pouvez être fier du travail accompli !
Chère amie, Cher ami,
Vous pouvez être fier du travail accompli !
Depuis près de 3 ans, ensemble, nous agissons pour protéger les jeunes des dangers de l’idéologie transgenre, et notre action porte ses fruits.
Nous avons été les premiers à alerter sur la circulaire Blanquer du 29 septembre 2021, institutionnalisant l’autodétermination du genre ressenti à l’École dès la maternelle…
… Et depuis, nous avons réalisé un travail très important pour faire bouger les lignes ! (Retrouvez toutes nos actions au bas de ce message)
Preuve de la solidité de notre travail, le Sénat vient de publier son rapport sur la transidentification des mineurs, et dans sa partie consacrée à l’École, il reprend mot pour mot les termes de l’audition de SOS Éducation !
Les sénateurs ont aussi publié une proposition de loi visant à protéger les mineurs de traitements expérimentaux et dangereux.
C'est l'aboutissement de 3 ans de travail rigoureux et documenté, et ce sont de belles avancées pour protéger les enfants de l'idéologie du genre à l’École !
Pour fêter le succès de notre action collective, je vous invite à retrouver en exclusivité le texte intégral de l'audition de SOS Éducation au Sénat le 5 juillet 2023.
La seule différence entre la synthèse de notre audition et ce qui a été repris dans le rapport du Sénat, ce sont les images !
Vous le verrez ci-dessous, les images permettent de mieux comprendre ce qui se passe dans les écoles.
Et la manière dont l’idéologie du genre est inculquée telle une vérité aux enfants dès la maternelle.
Et comment dans l’enseignement secondaire, elle est vecteur d’une nouvelle norme sociale source de fierté et de reconnaissance pour des jeunes vulnérables qui souffrent d’une détresse pubertaire dont l’issue éphémère - et à risque tant pour leur santé psychique que physique - est de se dire « être né dans le mauvais corps ». Bien sûr, vous pouvez aussi accéder directement au rapport complet du Sénat publié le 20 mars 2024, et retrouver en pages 239 à 249 la synthèse de notre audition (sans les visuels), ainsi que deux exemples concrets : des parents et un enseignant qui ont contacté SOS Éducation lorsqu’ils ont été confrontés aux risques bien réels de cette idéologie dans l’École. Sachez par ailleurs que les choses bougent en Angleterre. Le rapport indépendant du Docteur Cass sur les traitements administrés à des mineurs vient de paraître (vous pouvez y accéder en suivant ce lien - attention, il est en anglais). Il va dans le sens de la prudence, réaffirmant que :
L’École doit se tenir éloignée des lobbies des transactivistes et rétablir la réalité du sexe biologique. Certaines cliniques ont tout simplement refusé de participer à l’étude indépendante qui a été menée. Cela confirme l’urgence d’agir et l’importance d’associations comme SOS Éducation, pour protéger les enfants d’adultes devenus fous. C’est pourquoi il m’a semblé important de vous présenter en intégralité la synthèse de mon audition au Sénat, au cours de laquelle j’ai pu présenter l’analyse que nous avons produite. Je vous souhaite une bonne lecture. À la fin, ce sont les enfants qui trinquent. L’État ne remplit pas son devoir de considérer en priorité l’intérêt supérieur de l’enfant. L’École doit instruire, respecter l’autorité parentale et ne pas nuire ! L’idéologie transidentitaire à l’École est contraire à ces trois principes pourtant essentiels. Elle n’a donc pas sa place à l’École. Priorité à l'Éducation !
Audrey de Foodwatch France <actualites@foodwatch.fr>📢 Objectif 50 000 signatures face aux profiteurs de l'inflation alimentaire. Bonjour, Faire confiance aux industriels ? Au vu de nos nouvelles révélations, cette recette ne fonctionne pas ! Vous avez été des milliers à les interpeller en février dernier pour qu’ils cessent leurs magouilles, parmi lesquelles la cheapflation, ou quand la qualité des produits baisse et que leur prix augmente en catimini. Eh bien, nous avons trouvé de nouveaux produits qui se jouent de votre pouvoir d’achat : il y en a assez ! |
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Il est temps de s’attaquer aux racines de cette situation : la fabrique des prix dans l’industrie agroalimentaire et dans la grande distribution est une boîte noire qui rend possibles tous les abus, sans limite sur leurs profits. Dans un contexte de précarité alimentaire grandissante, c’est tout simplement inacceptable. Comme vous le savez, depuis plusieurs mois, foodwatch réclame au gouvernement, avec vous, de garantir la transparence sur la construction des prix et de limiter les marges indécentes, notamment sur les produits les plus sains, qui devraient être les plus accessibles. Notre demande doit trouver un écho plus large : partagez notre pétition avec vos proches, proposez-leur de rejoindre notre combat ! |
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Depuis le début de l’année, nous avons obtenu des rendez-vous politiques prometteurs, qui montrent que le gouvernement peut bouger sur ces dossiers. Ces avancées ne s’obtiennent qu’à coups d’enquêtes, de révélations dans les médias et bien sûr, grâce à votre mobilisation ! Si foodwatch doit continuer de mettre la pression avec vous sur les industriels pour faire bouger les choses, nous n’hésiterons pas !
Des yaourts protéinés Siggi’s (Lactalis-Nestlé), des cordons bleus Le Gaulois (LDC) et du haché de jambon Fleury Michon : foodwatch épingle de nouveaux produits victimes de cheapflation !
👉 Découvrez notre travail d’enquête et le détail de ces révélations.
Ce « name and shame » qui met au grand jour l’écart entre les beaux discours de l’agroalimentaire et la réalité de ses pratiques n’est possible que parce que foodwatch est 100% indépendante. Jour après jour, c’est vous qui garantissez cette indépendance, qui est le socle de nos actions de contre-pouvoir citoyen.
Aujourd’hui, nous avons besoin de votre générosité pour nous permettre de poursuivre notre travail d’enquête. Par exemple, un don de 50€ permet de financer une heure de recherche de produits suspects en supermarché. Agissez à nos côtés et offrez à foodwatch les moyens de dénoncer les pratiques abusives des agro-industriels !
Merci pour votre soutien 🧡
Ensemble, on ne lâche rien ! 💪
A très bientôt,
Audrey Morice, Chargée de campagnes foodwatch France
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